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A croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens

The City of New-Robots :: Loisirs :: Parcs
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Mer 25 Nov - 17:13

À croire qu'on est
dans les 101 Dalmatiens


J'aime bien le dimanche. J'adore même le dimanche. Je n'ai pas à aller en cours. Je n'ai pas avoir peur de croiser mon professeur au détour d'un couloir, ou devant le pas de ma porte. Le dimanche il reste à sa famille. Le dimanche je me sens libre. Je suis telle un oiseau qui peut quitter sa cage, un jour par semaine, pour aller voler en toute liberté. Libre. C'est ainsi que je me sens les dimanches. Libre. C'est comme ci toute la semaine j'avais retenu ma respiration et qu'enfin je pouvais souffler. Cela fait du bien. Celle me donne l'impression d'exister encore dans ce monde. Cela pourrait presque faire illusion avec tout le reste de la semaine qui n'est que douleur. Larme. Sang. Non ! Le dimanche, je ne veux pas penser à tout ça. Le dimanche je veux juste profiter de chaques heures qui m'est offerte. Je suis telle une prisonnière qui profite du temps qui lui reste avant la chaise électrique.

Aujourd'hui, je me suis levé tôt, comme tous les dimanches. Je me suis fait des pancakes et j'ai campé presque toute la mâtinée devant un jeu vidéo en ligne. Cela m'a fait du bien. J'ai rigolé. On as rigolé. J'aime bien mes amis en ligne. Ils ne savent qui je suis. Je ne sais qui ils sont. On partage juste des jeux en commun, et cela me suffit. Cela me donne l'impression de compter aux yeux de quelqu'un. J'ai presque les larmes aux yeux quand ils m'appellent Mel. Qu'ils me demandent de sauver leurs personnages. Ou encore quand ils m'envoient plein de message pour savoir si je peux jouer avec eux. J'ai l'impression d'exister. J'ai l'impression d'exister dans ce monde. Est-ce que j'existe vraiment à leurs yeux ?

Vers onze heures, je quitta mon ordinateur pour aller me doucher et m'habiller. Roméo me suit tout le long, sachant que je me prépare pour le sortir. J'attrape la laisse et l'attache. On sort enfin de la maison. Roméo est tout excité. Je lui fais faire ses besoins dans le caniveau puis on part se balader, tous les deux. Je me sens forte quand il est là. Je sais qu'il me protègera si un homme venait à s'approcher de moi. Je suis un petit oiseau protéger par un loup féroce.

On entre dans un parc, ou il y a déjà pas mal de chien. Je m'éloigne un peu, sachant que Roméo peu se montrer brusque parfois avec les autres chiens. Il ne leur fait pas de mal, mais cela effraie souvent les propriétaires de ces chiens, alors je m'éloigne. Malheureusement, je ne peux pas éviter éternellement les rencontres avec les autres chiens. Au détour d'un chemin, je tombe nez à nez avec une jeune femme qui a justement un chien. Un peu plus et je lui rentrais dedans.


« Oh... Pardon... » M'excusais-je rapidement, en baissant la tête.

Mes yeux se posent sur Roméo qui dit bonjour à l'autre chien. Pour une fois, il semble assez calme. L'autre chien à l'air de bien l'aimer. Peut-être qu'ils pourraient jouer ensemble. Je me demande si la jeune femme serait d'accord. Mais peut être qu'elle était en chemin pour rentrer chez elle. Bon, il faut que je tente quand même. C'est sans doute l'un des seuls chien avec qui Roméo pourrait jouer calmement.


« Est-ce que... »

J'ai à peine commencé à parler que les chiens jouent déjà ensemble. Ils se courent après. Ils courent autour de nous. Sans qu'on comprenne ce qu'il nous arrive, on se retrouve l'une contre l'autre. Ventre contre ventre. Poitrine contre poitrine. Nez contre nez. Nos corps sont entremêlés l'un contre l'autre par les laisses. Trop près. Je suis beaucoup trop près d'elle. J'ai le rouge qui me monte aux joues. Mon cœur bat beaucoup trop vite. Je ne sais pas où regarder. Je me sens ultra gênée.

« Je... Je suis désolée...  »

KoalaVolant


Tenue de Mélodie:
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Sam 28 Nov - 2:25

À croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens
Mélodie&Laura
Avec les derniers événements de ma vie... Je ne savais plus trop quoi faire, Aria n'avait aucune façon de me remonter le morale. Elle essayait de faire son possible, elle était aller chercher Sam.. Même Greogry, leur père.. mais rien ne fonctionnait. J'étais bien dans ma bulle, dans le noir.. dans.. le néant...

David était venu me voir à plusieurs reprises, mais de la colère et de la tristesse étaient les seules émotions que j'étais capable de gérer. Alors, rapidement les gens autour de moi s'avaient.. éloignées.. De toute manière, que pouvais-je leur dire. Stella s'est suicidée, Stella m'a laissé dans ce monde leur coeur déchirée, Stella m'a détruire, Stella est une.. merde.. Stella me fait chier.. Stella a prit mon coeur et l'a fracasser sans me le demander. Stella ! Après quelques jours, je reçu un appel du psychologue de la famille, je levais les yeux dans les airs, lorsque je le vus arrivé à ma porte. Je m'éloignai et retournai dans ma chambre. Je l'entendis me dire que pour passer au travers d'un deuil, je devais vivre mes émotions et accepter. Et voilà... Un vase de moins dans l'appartement des jumelles.

Plus aucune nouvelle de ce psychologue. Un jour, lorsque je suis toujours enfermée.. J'entends des jappements, des pas qui cours partout dans l'appartement. Je pense encore que Aria écoute des films de chiens.. Elle sait que j'adore ces petits bêtes. Je sors de mon univers noir et vlam.. Je suis au sol, une langue qui me lèche le visage. Je regarde ce qui est devant moi, un chien. Un berger.. Un.. mon chien favoris..

Je lève les yeux vers Aria, les larmes descendent rapidement sur mon visage, elle me présente Sico. Elle me dit qu'elle me l'a acheté et qu'il venait d'être abandonné par sa famille. Comme moi.. Lorsque j'éloignais mon visage, je fus conquise en quelques secondes. Il faut dire, que j'avais besoin.. J'avais un trou dans la poitrine, un trou qui était impossible d'être rempli.. puisque.. j'avais tout perdue.

Aujourd'hui, j'avais décidé d'aller courir avec Sico. C'était vraiment important pour lui de dépenser de l'énergie et pour moi.. Bien.. Ça me faisait penser à autre chose qu'à elle.. Après avoir couru plusieurs minutes, je décidai d'aller dans le parc à chien, non loin. Je savais bien que Sico adorait s'y rendre. Il était si sociable avec les autres et recherchait souvent le contact des autres chiens.

Sico était entrain de jouer avec plusieurs chiens, j'étais toujours entrain de le regarder lorsque je décidai de m'éloigner un peu. Et je tombai face à face avec une jeune femme. J'hoquetai de surprise et m'éloignai sous la surprise. Sico devait avoir ressenti ma détresse, car il accouru rapidement et allait dire « bonjour » à l'autre chien, qui était tout simplement magnifique.

- Je.. non.. ok...

Je regardais les deux chiens jouer ensemble et un petit sourire perçait le visage noir que je gardais depuis quelques jours, même semaines.

- Est-ce que ? ...

Je n'étais pas certaine de ce qu'elle voulait me dire, mais je décidai d'hausser les épaules et je retournais mon visage vers Sico. C'était le seul être qui m'était important.. C'était Sico qui était entrain de me remonter petit à petit..

Sico cours en rond, l'autre chien aussi et je me retrouve entremêlée dans les laisses. Rapidement le corps de l'autre jeune femme s'approche du mien et la peur pouvait se lire sur mon visage. Je sens la totalité de ses formes sur les miennes et ma respiration se saccade soudainement. Des images de Stella flanchent rapidement dans mon esprit. Je ferme les yeux et essaie de me concentrer.

- Je.. mon dieu..

Je touche délicatement ses bras pour essayer de créer une distance entre nous. Je réouvre les yeux et je tombe sur ses beaux yeux bleus. Je fuis son regard et je siffle d'un coup sec. Sico arrête subitement et me regarde. Du mieux que je pouvais, j'essayais d'aller chercher la laisse, mais j'étais incapable de défaire le noeud qu'ils venaient de créer. Je me retrouvais à nouveau nez contre nez contre la jeune blonde et je rougis subitement.

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Lun 30 Nov - 19:13

À croire qu'on est
dans les 101 Dalmatiens


Trop près. Je suis... Beaucoup... Beaucoup trop près d'elle. Je peux sentir sa respiration sur mon visage. Je sens ses mains toucher mes bras. J'arrive presque à sentir les battements de son cœur, tellement nos poitrines sont collées l'une contre l'autre. À moins que ça soit juste les miens qui s'affolent beaucoup trop à cause de cette proximité pas du tout prévue. Au moins, c'est une femme. Ce n'est pas un homme. C'est la seule pensée qui arrive à me calmer et à me détendre quelque peu face à cette situation dès plus perturbante. Moi qui espérais simplement que Roméo se fasse un nouvel ami canin, je crois que c'était raté. Cette jeune femme, quel qu'elle soit, allait surement m'éviter jusqu'à la fin de ma vie. En tout cas, je crois bien que c'est que je ferais surement.

Son sifflement résonna dans mes oreilles, mais aussi dans ma tête. Tout comme le chien, je me stoppa sur place. Je n'osa pas bouger, comme ci c'était à moi qu'elle venait de donner cet ordre. J'avala difficilement ma salive, me sentant totalement perdu. Je n'ose bouger. J'ai peur de la toucher. J'ai peur de parler. J'ai peur... Son regard... J'ai l'impression que ses pupilles viennent transpercer les miennes. J'arrive à percevoir chaque particule de couleur qui recouvre ses yeux. Les différentes touches de marrons, plus foncés vers le centre et plus clair sur les extrémités. Je me perd un instant dans son regard, me sentant encore plus rougir, alors que j'ose timidement baisser les yeux.

« Je suis désolé... » Murmurais-je de nouveau à voix basse.

Je sursauta légèrement en sentant un coup de langue sur mes doigts. Je vis facilement, du coin de l'œil, Roméo lécher ma main pour savoir si tout va bien. Je souris doucement en le voyant ainsi, aussi attentionné. Il est assis, près de toi, la tête lever, cherchant à capter mes émotions à travers mon regard. Ce chien sait vraiment me comprendre. Il est le seul d'ailleurs...

« Ça va aller, Roméo. Ne t'en fais pas. Je vais bien. »

Je lui souris tendrement, entendant l'animal soupirer avant de me donner un coup de museau contre la main. Il s'inquiète beaucoup pour moi. Il comprend la situation n'a rien d'habituel ou de normal. Comment puis-je lui en vouloir d'avoir causé tout cela ? Lui qui voulait simplement jouer. Je l'aime beaucoup trop pour lui en vouloir un seul instant. Tout comme je ne peux pas en vouloir à l'autre animal. Je l'admire un instant, d'ailleurs.

« Vous avez un très beau chien. J'adore les couleurs des Bergers Australiens. »

Mon regard recroisa celui de la jeune femme. Près. Nous sommes vraiment trop proches l'une de l'autre. Je n'ai jamais été aussi proche d'une parfaite inconnue.

« Je... Pardon... Ce n'est clairement le moment pour cela... »

Je rebaisse de nouveau les yeux, me sentant mal de divaguer ainsi, alors que la situation n'est clairement pas la plus propice pour parler de nos animaux de compagnies respectifs. Je tente de bouger, d'attraper les laisses, de tirer de dessus, de comprendre comment ce nœud c'est créé, mais je n'arrive à rien. Comment deux adorables toutous ont réussis à créer cela à eux deux ? Ils sont plus futés que nous.

« Est-ce que... Est-ce que vous tenez beaucoup à votre laisse ? Je... Je n'arrive pas à défaire le nœud et je me disais que... Qu'on pourrait les casser, mais... Ce n'était sans doute pas une bonne idée... »

Plus je parle, plus le ton de ma voix diminue, devenant presque un murmure. Le rouge persiste sur mes joues déjà bien empourprées face à cette jeune femme.

KoalaVolant


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Dim 6 Déc - 16:28

À croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens
Mélodie&Laura

La proximité entre elle et moi me rendait... en fait, je n'étais certaine de rien. Me sentir si près d'une femme depuis Stella me faisait.. rougir.. me faisait.. Mon dieu, ça rendait mon cerveau si incompréhensible. Je regardais la jeune blonde, en fait.. C'était tout ce que je pouvais faire en ce moment, mes jambes étaient coincés de façon très serrée et nos bras étaient définitivement d'aucune aide. La seule chose que je pouvais faire, c'était de regarder les deux chiens jouer entre eux et un sourire de tendresse s'épanouit sur mon visage. Sico n'avait jamais eu trop de difficulté à s'adapter aux autres, il adorait montrer ses compétences et de jouer avec les autres. Alors, de ne pas avoir de mettre qui l'arrête. Il profitai beaucoup trop de ce moment de répit.

C'est pour cette raison que j'avais sifflé. Je voulais le faire arrêté de courir partout et d'entremêler les choses encore plus. J'étais loin d'être fâchée par lui, comment le pourrais-je ? Ce n'était pas de sa faute si nous avons tant de pieds gauche. Par contre, la proximité de la jeune fille me fit rapidement comprendre que Stella n'était pas unique, elle n'était pas la seule et l'unique. Puisque en ce moment même, je pensais à toutes les frôlements et la respiration saccadé de celle-ci, qui semblait me faire rappeler les respirations de Stella lors de nos ébats. Je fermais les yeux de douleur.. de même.. calmer mes envies.

- Ne vous en faites pas, je pense bien avoir été dans de pire situation.

J'essayais de faire un peu d'humour pour rendre la situation un peu plus agréable à vivre. J'étais quand même coincé avec une inconnue, collé sentant sa poitrine sur la mienne, sa chaleur sur la mienne.. Je rouvrais les yeux et à son tour Sico vint chercher le contact avec mes doigts. Je fis un petit sourire en coin et soupire d'aise. Sico avait clairement su répondre à un besoin, répondre à mon besoin dans les dernières semaines.. Et il était devenu l'être que j'aimais le plus.

- Joli prénom ! Roméo, ça lui fait comm un gant.

Je pris une longue respiration pour diminuer la cadence de mon coeur, mais cela faisait en sorte de mon corps en entier sentait beaucoup plus celui de la jeune blonde. Il fallait vraiment que je sorte de cette situation. Je.. je ne suis plus capable de me concentrer sur quoi que ce soit.. Seulement elle et à la proximité.

- Merci beaucoup, Sico a su... comblé... Le votre aussi est magnifique, quel est sa race ?

Je ne savais pas quoi dire à propos de Sico. Je trouvais cela lourd de dire qu'il avait comblé mon coeur brisé par la perte de l'amour de ma vie. Déjà que nous étions dans une situation, hors normes, ce n'était pas le moment de rendre cela encore plus lourd que ce l'était déjà.

- Mon dieu.. ne vous en faites pas.. Je dois vous avouez que cela.. me rend moins anxieuse lorsque vous parlez.. que si nous restions muettes..

En fait, je voulais plutôt dire que cela rendait le tout moins malaisant. Moins intense de devoir regarder seulement son regard bleu, comme celui de Stella. De sentir sa peau sur la mienne, de sentir les frôlements.. Au moins, je pouvais me concentrer sur ses paroles. Je regardais toujours les deux chiens et les voilà, toujours entrain de s'amuser. J'étais heureuse, malgré tout.. J'étais heureuse que Sico venait de trouver chaussette à son pied.

- Non, non.. Je suis prête à couper la laisse s'il le faut. Au fait, ça me fait penser.. Dans la poche arrière de mon survêtement, j'ai un mini kit de couture avec un ciseaux. Croyez-vous être en capacité de l'atteindre ?

Je venais de me rappeler que je portais toujours dans ma mini poche, mes cartes un et mini kit de couture. Il était toujours important d'avoir ses choses à la porter de main. Nous ne savons jamais dans quelle situation nous pouvons tomber.

- Je sais que... c'est beaucoup demander.. Je comprends si vous n'êtes pas à l'aise..

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Jeu 10 Déc - 13:15

À croire qu'on est
dans les 101 Dalmatiens


Je sentis mon cœur, mon cœur si frêle à cet instant, louper un battement. La jeune femme, cette inconnue auquel je me retrouvais totalement collé et lié par nos laisses, venait de dire qu'elle pensait avoir été dans de pire situation que celle-ci. Était ce vrai ? Pendant un moment, j'eu peur que oui. Le visage, la voix, la respiration, le parfum, … Tout ce qui faisait mon professeur, me vient en tête comme une baffe en plein visage. Est-ce que... Non, je ne l'espère pas. C'est... C'est de l'humour ? Ça doit être ça, de l'humour pour nous détendre face à la situation. Pourtant, je doute en la voyant ainsi les yeux clos comme cherchant à ne pas faire face à la situation dans laquelle nous nous trouvions.

« Désolée... » Répétais-je simplement dans un murmure presque inaudible, en tournant la tête sur le côté.

Les deux chiens étaient autant adorables l'un que l'autre, autant le sien que le mien. Le chien de la jeune femme c'était aussi rapproché d'elle, comme Roméo l'avait fait avec moi. Les animaux sont bien plus intelligents que nous le pensons, et ils avaient l'air, tous deux, de comprendre que la situation était loin d'être habituelle entre deux humains. Je rassura Roméo, en l'appelant par son prénom et essayant de ne montrer aucun mal à l'aise face à tout ça. Un léger sourire, tout timide, se plaça sur mes lèvres quand la jeune femme complimenta le nom de mon chien. Ce dernier avait, d'ailleurs, tourné la tête vers elle en l'entendant prononcer son nom.

« Merci beaucoup. » Disais-je tout en tournant le regard vers elle, un instant, avant de le poser sur son chien. « Comment s'appelle le vôtre ? »

Je viens complimenter la couleur si belle et presque majestueuse de Sico. Il semblait avoir un poil très doux, et j'avouais avoir très envie de plonger ma main dans son pelage si soyeux. Cela se voyais, au premier regard, que la jeune femme prenait soin de son animal. Il était beau. Son regard pétillait de bonheur. Il respirait la joie de vivre. Il avait tous les signes d'un chien en magnifique santé. Il faisait partie de ceux qui donnaient envie de sourire quand on les regardait.

La jeune femme commença à me répondre, mais sembla se stopper dans sa phrase pour en commencer une nouvelle. Sico a su combler quoi ? Un vide ? Son cœur ? C'est que Roméo avait réussi à faire avec moi. Il m'aidait à me sentir moins seul, à me sentir aimer, à me sentir exister. Sans lui, je ne sais ce que je saurais aujourd'hui. Était-ce la même chose pour la jeune femme ?

« C'est un malinois. Je sais que son apparence un peu sombre peu en effrayé certains, surtout qu'on vois beaucoup de malinois dans l'armé ou même dans la police, mais c'est un chien vraiment adorable et très protecteur avec moi. »

C'est bien moi ça... Je parle, je parle, et je parle encore. Je ne peu pas m'en empêche. Quand on commence à parler des animaux, je raconte tout ce que je sais. Gênée, je m'excuse de cela, de parler autant, alors que la situation n'est clairement pas faite pour cela. Heureusement, la jeune femme ne voyait les choses comme j'avais pu l'imaginer. Elle disais se sentir moins anxieuse face à mon blablatage, plutôt que face à mon silence.

« Il est vrai que moi aussi, cela me rend moins anxieuse de parler. Surtout de parler de quelque chose que j'aime, comme les animaux. Je pourrais vous parler pendant des heures des chiens, mais je pense qu'il faudrait mieux que nous sortions de là avant tout. »

La jeune femme semblait moins tendue, moins stressé, et plus heureuse. Et ça c'est à mesure qu'elle regardait les deux chiens s'amuser joyeusement ensemble. À les voir, on dirait deux vieux amis qui se retrouvent. J'envie Roméo. Je l'envie de pouvoir se faire aussi aisément un ami. Le monde est bien trop complexe que celui des animaux. Il ne suffit pas, simplement, de jouer avec le bâton pour être ami avec quelqu'un. Pourtant, j'aimerais bien...

Je questionna la jeune femme si elle tenait beaucoup à sa laisse, voulant casser cette dernière, ainsi que la mienne, pour réussir à nous dépatouiller enfin de tout cela. J'étais prête à lui en racheter une, si besoin, mais c'était surtout par ce que je ne savais vraiment pas comment faire autrement. C'est là qu'elle me dit qu'elle avait une mini de couture sur elle, dans la poche arrière de son survêt. Et que... Que je l'attrape ? Moi ? Mes joues devinrent plus rouges qu'avant et je sentis ma respiration se bloquer un instant. J'allais devoir aller chercher le kit moi-même ? Dans sa poche arrière ? Bien sûr, cela ne pouvait pas être elle, car elle ne pouvait l'atteindre à cause des laisses.

« Je... Non... Ne vous inquiétez pas... Je... Je vais prendre ce kit... Nous... Je vais le faire. » Disais-je en hochant la tête.

Je souffla doucement, mes lèvres tremblant quelque peu, avant de tendre ma main droite pour toucher son dos. Doucement, mes doigts glissèrent sur son vêtement, arrivant juste en bas du dos. Je baissa le regard, essayant de ne pas croiser le sien. La situation est tellement gênante. Timidement, ma main continua son chemin touchant sa fesse. Je mis quelques secondes avant de trouver sa poche, ne prenant pas conscience des battements de mon cœur qui avait augmenté d'un rythme, faisant ainsi de même avec ma respiration.

« Je l'ai ! » Disais-je à voix basse.

Doucement, je tira sur le mini kit de couture entre mes doigts, pour ensuite le prendre complétement dans ma main. Je gémis de douleur en tirant sur mon bras pour essayer de placer ma main, ainsi que le kit, entre nos deux corps. Ma main se retrouva juste entre nos deux poitrines, mes doigts tenant ferment le kit, de peur de le lâcher. J'essaya de tirer sur mon autre bras, afin de pouvoir ouvrir l'objet avec mon autre et m'en servir, mais impossible. Le deuxième bras était bien bloqué contre elle. Je leva mon regard vers elle.

« Je... Est-ce que vous arriveriez à dégager l'une de vos mains pour m'aider ? »

KoalaVolant


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Lun 21 Déc - 17:09

À croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens
Mélodie&Laura

De me sentir aussi près d'une femme depuis, elle... Je dois avouer que je n'étais pas la Laura la plus à l'aise en ce moment. Je ne savais pas comment me tenir, je ne savais pas comment... En fait, je ne savais pas si j'étais réellement attirée par les femmes ou bien c'était que Stella. Mon cerveau était tout simplement attaqué par tous ses pensées, ses pensées qui étaient tout simplement inutiles. Avouons-le. J'étais coincée, entourée de laisses, les deux chiens qui courraient partout. La naïveté des chiens me feront toujours sourire.

- Il n'a rien à se pardonner. Nous avons été obligée. Pas de choix. dis-je en riant un peu.

C'était un fait, nous n'avons pas choisis d'être dans cette situation. Nous avons eu une malencontreuse aventure avec nos chiens, qui nous ont pas laissé le temps de réagir. Ils étaient beaucoup trop fous, mais je devais avouer que cela me faisait du bien, du bien d'avoir enfin un lien avec un humain. Je suis toujours indépendante, mais avec les derniers mois... J'ai appris à vivre prochain des humains, de voir qu'un lien significatif avec l'autres était aussi incroyable que de recevoir une prime au travail. Alors, oui.. J'étais dans une fâcheuse situation, collé à une femme qui ne me laissais pas.. qui.. oui.. qui pourrait m'intéressait, me faisait quand même un sourire sur les lèvres. Les seules personnes avaient qui je parlais était seulement Aria, David et Sico.. Alors.. hein.. Socialement, j'avais besoin.. J'avais cruellement besoin de socialiser, mais je n'étais pas encore prête à l'avouer intérieurement. Stella, Stella était toujours trop présente.

- Il s'appelle Sico. Un petit nouveau dans la famille. dis-je avec un regard qui s'assombrit et mon sourire fondit un peu.

Son chien était réellement d'une beauté époustouflante. J'avais un vrai partit prit pour les berger australien, mais je devais avouer que Roméo avait un pelage et une race surprenante. C'est bien pour cette raison que je posais des questions sur la race. J'étais très curieuse de voir qu'elle était sa race. Je le trouvais magnifique, assez, que cela me donnait envie d'en avoir un autre... mais rapidement, je compris que c'était mon besoin que j'essayais de remplir et non d'adopter réellement un animal.

Avec son départ et l'arrivée de Sico, celui-ci avait réussi à remplir rapidement un espace noir et sombre de mon âme. Il m'aimait sans aucune raison, je faisais que lui donner à manger, le sortir à l'extérieur et il m'aimait de façon inconditionnel. Et en ce moment, j'avais besoin de cela, de vivre de l'amour de façon inconditionnel. J'avais besoin de me sentir aimé pour aucune raison, j'avais besoin de savoir que quelqu'un avait besoin de moi, j'avais besoin... Sico était la seule chose que j'avais besoin dans ma vie et il faut dire... qu'il était entrain de rentrer doucement dans mon coeur.

- J'adore tout simplement. Des gens ont réellement peur de ton chien ? Je trouve cela.. Si improbable, mais je peux comprendre.. Il a une certaine prestance.

Si mes mains étaient libres de leur mouvement, il était certain que j'aurais essayer de caresser Roméo. Même de caresser Sico. Depuis quelques temps, il essayait de trouver mes mains pour que je le caresse, mais rapidement il m'oubliait pour aller continuer à s'amuser avec Roméo. Ce que j'adorais tout simplement, j'aimais le voir heureux.. Puisque, ça me rendait heureuse.

Nous étions en pleine conversation que cela me faisait quasiment oublier la situation dans laquelle nous étions. Oui, nous étions coller l'une à l'autre, mais.. parler rendait la chose beaucoup plus sereine, moins anxieuse. De lui parler aussi, me faisait oublier la proximité physique, la proximité.. Celle qui me faisait respirer de façon saccadé, celle qui me donnait des souvenirs d'elle. Celle.. qui me mettait une chaleur aux joues..

- Je suis tout-à-fait d'accord. Ce n'est pas que ce n'est pas intéressant, mais... J'aimerais me sortir de cette fâcheuse situation. Je..

Voilà, je bug.. Je n'étais pas capable de finir la phrase. La phrase qui allait mettre en contexte mon malaise et ma perte. Non, je n'étais pas prête à en parler et encore moins à une inconnue. J'étais tellement envenimée par la pensée d'elle, par le fait qu'elle était la seule femme qui m'avait autant approchée que j'en avais oubliée le petit kit de couture qui était enfermée dans ma petite poche.

Je regardais son visage, ses cheveux et je me perdis rapidement dans la contemplation de la jeune femme devant moi. Et.. C'est à ce moment que je me rendis compte, que nous nous ne sommes même pas présentée. Et l'idée du kit de couture s'insinua aussi en moi. Oui, le kit dans ma poche.. Il pourrait sûrement nous aider à couper les laisses. C'est à ce moment que je lui proposais d'aller le chercher, car j'était incapable de le prendre.

- Au fait, je suis Laura.. Je..

La proximité, encore, encore quelque chose qui semble faire buguer mon cerveau. Ma respiration se saccade rapidement et je sens ses mains sur mon corps, dans ma poche. Je sens ses mains et je suis incapable de reprendre une respiration. Voilà, je manque de respiration. Je suis incapable.. Sa main sur ma fesse, cherchant le kit de couture. Le rouge monta à mes joues et mes mains devinrent moites rapidement.

J'entendis le petit « je l'ai » de la jeune femme et j'hochai la tête. Je ne pouvais pas sortir un sons.. Surtout avec le fait qu'elle soit si proche de moi. Je n'avais pas encore, en fait.. J'étais toujours très mélangée au niveau sexuelle, relationnelle. Stella était-elle un unique moment de ma vie ou bien.. elle était.. Lorsqu'elle s'éloigna pour ramener son bras entre nos deux poitrines, je regardais ce bras.. Ce bras qui était très, peut-être même trop, proche d'une partie de mon corps. Je remonta mon regard vers son visage.

- Je vais essayer, je ne garantit rien par contre.

Je me concentre, j'essaie de me concentre sur mes bras, mais mon cerveau se concentre seulement sur le bras de la jeune blonde. Je ferme les yeux, prends une longue respiration et me concentre sur mes mains. Je sens que l'une est plus lousse que l'autre. Je bouge mes hanches, je bouge mes bras et mon corps et doucement, l'une de mes mains se retire du piège.

- C'est tout ce que je peux faire.

J'ouvre rapidement ma main pour pouvoir attraper le petit ciseau qui était à l'intérieur du kit. Si j'arrivais a attraper le ciseau. J'allais être en possibilité de couper les deux laisses qui nous retenaient prisonnière depuis maintenant plusieurs longues minutes.

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Chien de Laura:
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Dim 27 Déc - 12:32

À croire qu'on est
dans les 101 Dalmatiens


Avais-je de la chance. Oui. Non. Un peu quand même. Oui, la situation était dès plus cocasse et vraiment pas des plus chanceuses qui existe sur cette terre. Cependant, dans ce malheur, j'avais la chance de me retrouver coincé avec une jeune femme, et non un homme, et une jeune femme qui semblait vraiment très gentille. Elle ne semblait nullement m'accuser du pétrin dans lequel nous nous trouvions. Elle en riait même. Un doux rire. Un rire beau. Un rire vrai, même si léger. Un rire qui me faisait doucement sourire, une fraction de seconde cependant, pas plus.

Sico. Voilà donc le nom que portait ce magnifique berger australien. Un chien vraiment magnifique, qui semblait bien se porter et adorer sa maitresse. Même si il était plus préoccupé à jouer à cet instant avec Roméo. Ce n'est pas moi qui allais les blâmer, bien au contraire. En fait, je crois même que j'enviais Roméo à cet instant. À le regarder, cela semblait si simple de ce faire ami avec quelqu'un. Moi qui suis solitaire. Moi qui n'aie que des amis virtuels, qui non jamais vu ma tête. Moi qui rêvais simplement d'avoir quelqu'un avec qui parler en face à face. Moi qui rêvais de ce qu'était en train de vivre avec Roméo. Oui, je l'enviais. Je l'enviais même énormément.

Cependant quelque chose me tracassait. La jeune femme avait dit le nom de son chien, elle avait même rajouté que c'était un petit nouveau dans la famille, alors... pourquoi son visage semblait si triste soudainement ? Elle avait perdu un peu de son sourire et son regard... il avait changé. Pourquoi ? Je ne comprenais pas. Je me sentais triste, comme sentant sa tristesse.

« C'est un très joli nom... » Répondais-je avec douceur.

Parler de Roméo me faisait du bien, cela me détendait. Même si nous étions toujours coincés l'une contre l'autre, parler me permettait de moins stresser. Malgré mes airs timides, je pouvais devenir un vrai moulin à parole quand il était question de Roméo, ou même des animaux en général. Et puis, elle m'avait dit que cela l'aidait aussi que je parle, donc... Si cela nous convenait à toutes les deux, il n'y avait pas de raison que je me taise.

« Oui, il y a pas mal de personnes qui en ont peur. Les adultes en générales. Certains enfants ont en peur, mais c'est souvent une peur causé par les parents. En plus, Roméo est un chien de couleur assez sombre et... Et les personnes ont généralement du mal avec les animaux aux pelages foncés, voir noir. Il n'y a qu'à voir les chats noirs. Ils sont une sacrée réputation. Malheureusement... » Disais-je tout en soupirant tristement.

Parler était une chose, mais nous ne pouvions pas rester indéfiniment dans cette situation. Même si parler nous aidait à penser à autre chose. Nous étions d'accord sur le fait qu'il nous fallait nous sortir de là, tout comme aimions profondément nos chiens. Deux points communs. Enfin, si on peut dire ça comme ça. Je n'avais jamais eu autant de points communs avec un autre être humain. Peut-être... Peut-être qu'on pourrait devenir comme Sico et Roméo. Était ce possible ? Je me perdrais dans cette pensée, ne prêtant pas trop attention au fait que la jeune femme n'avait pas réussi à terminer sa phrase.

Elle me parla du petit kit de couture qu'elle avait dans sa poche, notre porte de sortie. Au moins, c'était toujours mieux que l'idée que j'avais eut de demander au chien de ronger les laisses qui nous tenaient poissonnière l'une contre l'autre. Une idée que je n'avais pas exposée et heureusement, je pense. Juste après m'avoir parlé de son kit de couture, la jeune femme se présenta. Laura. En entendant son nom, son doux nom, un bref sourire naquit sur mes lèvres.

« Moi, c'est Mélodie. » Répondais-je tout en commençant à aller chercher ce kit de couture caché dans la poche arrière de son pantalon.

Je n'osais la regarder, me sentant très gênée par la situation. Je la touchais. J'essayais d'y aller doucement, mais aussi rapidement. Cela n'est pas très agréable de se faire toucher de la sorte par une parfaite inconnue. Ma main glissa dans sa poche arrière, mettant quelques secondes pour arriver à y sortir le mini kit de couture. Une fois l'objet en main, je tenta, tant bien que mal, de le tirer sur mon bras pour positionner ma main entre nos deux poitrines. Sur le moment je ne pensa pas à l'emplacement de mon poignet, mais plus au fait que je n'arrivais pas à dégager mon autre main pour attraper le petit ciseau qui allait nous sortir de là, enfin. Je demanda, d'ailleurs, de l'aide à Laura pour ça.

Je la regarda, essayer tant bien que mal de faire venir l'une de ses mains jusqu'à la mienne. Elle semblait avoir du mal à ça. Elle fermait les yeux, inspirait profondément, ce qui avait pour répercutions de me faire retenir ma propre respiration, comme si j'avais peur de lui piquer son air. Je sens son corps bouger contre le mien. Je remarque enfin mon bras contre sa poitrine. Oh non... Je rougis fortement. Maintenant que j'y pense, c'est la première fois que je me trouve aussi proche de quelqu'un d'autre que ma marraine ou de... lui... Elle... Elle est si fine, plus petite que moi, et... sa poitrine... Je... Je la sens... Oh mon dieu... Je détourne les yeux ailleurs, ayant l'impression d'avoir regardé trop longtemps ses seins, sans le vouloir.

Je reposa nos regards sur nos deux mains qui se touchaient presque, en entendant la voix de Laura. Nous allions bientôt nous sortir de ce calvaire. Nous... Mon regard se leva vers elle, se plongeant dans le sien. Un ange passa. Un silence de quelques secondes, une minute à peine. Un instant ou je me sentis me perdre dans ses yeux. C'est étrange. Ses yeux... Je me réveilla, si on puis dire ça comme ça, en sentant la truffe de Roméo sur mon autre main. Je secoua la tête, rougissant de plus belle.

« Désolée... » Murmurais-je faiblement.

Je bougea un peu plus ma main, voulant la rapprocher de la sienne, mais je sentie le frottement que fit mon poignet contre ma poitrine et la sienne. J'avala difficilement ma salive. Il faut que je me concentre. Difficilement, j'ouvris le kit d'une main et essaya de le tendre à Laura pour qu'elle puisse récupérer le ciseau afin de nous libérer.

« Au pire... si cela ne marche pas... on pourra demander aux chiens de couper les laisses avec leurs dents. » Disais-je tout en émettant un très léger rire.

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Ven 15 Jan - 0:07

À croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens
Mélodie&Laura

Je ne pourrais croire que des gens avaient peur de cette race de chien. Voyons.. avez-vous vu la beauté et la sincérité dans ces yeux. La joie qu'il a de jouer avec Sico et de profiter du beau temps. J'avais de la difficulté à croire que les gens pouvaient avoir peur des animaux. Je.. C'est un être avec une capacité d'apprentissage et il est en capacité de comprendre des commandes tout en évaluant sa réaction face à celle-ci. Je veux dire... Si on l'attaque, le chien saura quoi choisir comme réaction. C'est prévisible, même si plusieurs disent que les chiens sont imprévisible.

- Eh bien, je trouve cela absurde de voir que des gens ont peur ou qui s'attendent au pire d'une certaine race de chien, mais bon.. Rare sont les fois où je comprends réellement la réaction humaine face à des choses avec si peu de logique.

J'étais totalement partit dans une narration sur mon incapacité à être emphatique ? Sérieusement ? Je venais réellement de dire que j'étais incapable de comprendre les émotions des autres. Je ferme les yeux quelques secondes et soupira.. Oui, en fait, c'était plutôt mon incapacité à parler face à des jeunes femmes collées sur moi plutôt. J'étais totalement entrain de me flageolait de l'intérieur.

Être collée aussi proche d'une femme depuis le départ de Stella me mettait réellement dans une drôle de situation émotionnelle. Je ne savais pas si je devais me laisser ressentir ce que je ressentais réellement et si je devais me punir de ressentir ceci lorsque je venais seulement de perdre l'amour « dite » de ma vie. En même temps, c'était quelque chose de si subit, je n'aurais jamais pu m'attendre à quelque chose de ce genre, je ne m'aurais jamais attendue à être seule du jour au lendemain dans ma chambre. De ne plus sentir sa présence et sa chaleur sur moi.. De.. Sentir sa poitrine sur la mienne et mon cerveau se concentra d'ailleurs sur celle de Mélodie.. oui... Mélodie.. Mes yeux se concentra sur cette dite poitrine et me rendit compte de mon faux pas. J'avalai rapidement, mais avec difficulté et retourna mon regard vers le sien.

- Eh bien.. eux.. Ravi de te rencontrer dans ses circonstances. Je n'aurais pas demander mieux comme brise glace.

Venais-je réellement de flirter ? Flirter avec une femme dont sa poitrine touche la mienne, dont je sens ses bras frôler rapidement et d'une douceur mes abdominaux et ma poitrine qui ressent chacune de ses caresses.. Non pas caresses.. de ces mouvements. M.o.u.v.e.m.e.n.t.s, Laura..

- Je ne crois pas être en capacité d'y arriver.

J'énonce encore le fait que je ne serais pas capable, mais après quelques secondes où mon avant bras frôlait sans arrêt sa poitrine et la mienne. Je grognais subitement d'impatience. Non, pas que cette situation m'agacait.. En fait, oui, mais non.. Je veux dire.. Je ne sais pas.. Je n'aime pas être dans cette position où.. Tout est accidentel, où... Je prends plaisir à faire exprès de toucher une fois de trop où de bouger lorsque ce n'était pas nécessaire. J'étais totalement.. Mon Dieu.. Je profitais.. mais.. quelle.. Je n'avais pas d'allure. Voyons, profiter comme cela d'une étrangère. Je saisis subitement les ciseaux un sourire de victoire s'affiche sur mes lèvres. En fin, oui, oui.. Nous allons enfin sortir de ce faux pas. De cette proximité qui réussissait à jouer avec mes neurones et celle-ci commençaient à ne plus être en capacité de résister à quoi que ce soit.

Je l'entends me dire qu'elle pourrait demander aux chiens de couper les laisses avec leur dents. J'éclatai subitement de rire, bien sûr que non.. Sico est beaucoup frivole et rebelle pour écouter quoi que ce soit.. Peut-être que Roméo en a la capacité, mais clairement pas Sico. Par contre, je lui fit un petit sourire.

- Regarde ma main, j'ai les ciseaux.. Il faut seulement que je me rende aux laisses.

Ma main coincée entre nos deux poitrines. J'essai fortement de retirer celle-ci, mais elle se coince de plus en plus dans les noeuds, originalement faits, et je me retrouve à littéralement touché sa poitrine, ma main sur celle-ci et mes ciseau qui ne se rende malheureusement pas aux laisses.

- Oh, Mon Dieu.. Je suis tellement désolée.. Je.. oh, non... Je suis coincée.. Je ne veux pas te mettre mal à l'aise.

Mon visage est maintenant cramoisi. Je ferme les yeux de honte et je n'ose même plus bougée. Oui, il y a quelques minutes, je profitais.. Je trouvais.. à la limite drôle de me créer d'aussi forte émotions.. mais là.. non, j'avais sa main sur sa poitrine. J'étais aux bords des larmes..

- Si tu bouges et que je bouge, peut-être que ma main pourrait se délogée et couper les laisses ?

Je n'avais plus aucune solution face à cet événement. L'organisatrice dans ma tête, n'était plus en fonction. J'étais incapable de penser de façon... non.. J'étais hors-service.

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Ven 19 Fév - 21:31
• • • •• • • •


C'est étrange. C'est étrange et doux. Cette sensation. Celle qui vient de caresser mon cœur. C'était quoi ? Cela avait un rapport avec les paroles que venait de prononcer Laura. Ses mots m'avaient surpris au début, avant de me faire doucement sourire. J'avais le sentiment d'être comprise, ou plutôt... de la comprendre, elle. Tout comme moi elle semblait plus comprendre ce qu'un chien pouvait ressentir, et voir la beauté de ce dernier, sa gentillesse et sa loyauté, que dans tout être humain. Laura pensait donc comme moi, dans un sens. Du moins, c'est ainsi que j'avais compris ses paroles. Ses douces paroles qui semblaient caresser tout mon être d'une douce caresse.

« Parfois, j'ai le sentiment de plus comprendre les animaux dont je m'occupe, que les humains. » Disais-je doucement et d'un léger sourire, comme voulant montrer à Laura, que moi, je la comprenais.

Mon regard se posa sur Laura, me sentant plus proche d'elle, soudainement. Enfin, cela est assez ironique vu la situation dans laquelle nous nous trouvions. Nos deux corps collés l'un contre l'autre, grâce aux laisses de nos chiens biens aimés. Un contact physique qu'aucune de nous n'avait prévue, tout comme... ce regard... ce regard de Laura sûr... sûr... Je me sentis rougir fortement. Je me dois me faire des idées... Elle doit regarder dans le vide... Elle ne peut pas... Elle le peut ?... Elle regarderait vraiment ma poitrine ?... Je me sentis troublé par cette pensée, cette idée, ne sachant comment réagir, à part sourire étrangement béatement à ses paroles.

« Il est clair que cette rencontre est tout sauf glaciale. Cela n'est pas pour me déplaire » Disais-je en riant doucement, avant de me mordre intérieurement la joue.

C'était quoi ce rire ? Il est nouveau ? Et depuis quand je... je sors ce genre de... de phrase ? Mon dieu... Est-ce que c'est le fait qu'elle... ? Non, il faut pas que je me fasse de film, car ce n'était rien. Cela devait être dû au fait que j'étais troublé. Oui, c'est ça. Troublé par ses mots, et à présent par son bras qui semblait ne pas cesser de toucher ma poitrine. C'est étrange, d'ailleurs. C'est... Je ne saurais dire... Je ne dirais pas que je déteste, ou que c'est désagréable, mais je ne saurais dire plus. Je... Je dois commencer à couver un truc je pense. Ou bien suis-je vraiment plus troublé que je ne le pensais par Laura et ses mots... ses paroles... son regard... Son ciseau... Son ciseau !

Soudain, mon esprit sembla revenir sur terre, me faisant papillonner des yeux. Je rougis légèrement, face à Laura et à son rire si franc et si beau. Je la regardais tenir fièrement les ciseaux, prête à nous sortir enfin de pétrin dans lequel nous nous trouvions. Du moins, c'est ce que je pensais... Laura tentait tant bien que mal d'arriver à ne serait ce qu'à une laisse pour la couper un peu, sans succès. Enfin... Je ne saurais l'expliquer comment, mais sa main arriva sur mon sein. Je sentis un frisson parcourir tout mon corps. Mon cœur s'accéléra dans ses battements, et elle devait surement le sentir à travers sa main. J'avais chaud. Terriblement chaud. Mes joues étaient rougies par ce qu'il était en train de se passer. Sa main touchait totalement ma poitrine et... cela... me mettait dans tous mes états...

Mon regard était baissé vers sa main, sentant ma respiration plus rapide que d'habitude sortir de cette poitrine qu'elle touchait. Je releva le regard en l'entendant s'excuser. Elle semblait si désolée, si mal à l'aise. Les mots sortirent tous seuls de ma bouche.

« Ne t'en fait pas ! Cela me dérange pas vu que c'est toi. »

Je me bloqua soudainement, me rendant compte de mes mots. Je rougis encore plus, me sentant totalement stupide

« Je... Enfin... Je voulais dire... Que... Enfin... Ne t'en fais pas, ok ? Ce n'est pas grave. »

Stupide. Je suis totalement stupide. Je n'arrivais rien trouver à répondre, à expliquer face à ce que je venais de dire. Je n'osais plus la regarder et le fait qu'elle parle de bouger, pour qu'elle puisse bouger... Allais-je plus sentir sa main sur ma poitrine ? Est-ce qu'elle allait la caresser, sans le vouloir ? Un nouveau frisson me parcourut et un léger soupire étrange... de plaisir ?... sorti très doucement d'entre mes lèvres entrouvertes.

« Hé, vous avez besoin d'un coup de main les filles ? »

Je releva les yeux et vu une jeune femme, une joggeuse d'une cinquantaine d'années, s'approcher de nous.

« Heu... Si cela ne vous dérange pas, madame. »

« Aucun problème. Cela me fait plaisir. »

Elle s'approcha, et réussit, en un tour de main, à démêler le nœud dans lequel nous nous trouvions. Elle nous rendîmes à chacune notre laisse, affichant un sourire très joyeux sur les lèvres.

« Vous êtes vraiment très mignonne. Vous me rappelez moi à votre âge. C'est d'ailleurs dans ce parc que j'ai rencontré ma fiancée. D'ailleurs, vous formez un très joli couple. Bon, allez je vous laisse, sinon je vais perdre le rythme. »

La jeune femme reparti aussi vite qu'elle n'était arrivée, me laissant encore plus rouge que je ne l'étais avant. Était ce seulement possible ?

Je serra doucement la laisse de Roméo que je tenais dans les mains, n'osant tourner le regard vers Laura. Maintenant que nous étions libres, allait-elle partir ? Rentrer chez elle ? Me laisser seule ? Non... Je...

« Ça te dirais d'aller boire un milkshake ?! » Disais-je soudainement en me tournant vers elle, le cœur battant.


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Dim 4 Avr - 15:44

À croire qu'on est dans les 101 Dalmatiens
Mélodie&Laura
C'est étrange que dans un moment aussi mélancolique dans ma vie, je rencontre cette femme qui semble comprendre ou même me connaître sans réellement. Je ne savais pas du tout comment me tenir et que devais-je ressentir face à cette blonde devant moi. Un lien surnaturel ? Bénie ? Karma ? Je ne sais quoi, avait fait en sorte que je l'a rencontre. Et je dois bien avouer que pour l'instant, je ne regrettais en rien cette rencontre inopportune. C'est certain que d'être physiquement proche, collée même me faisait mettre certaine chose en perspective. C'était tout nouveau pour moi... de.. Mon dieu, de retourner sur le marché ? C'est ce que l'on dit non.. Étais-je sur le marché ? Étais-je vraiment en train de me demander si elle était aussi.. intéressée ? Tellement de questions et si peut de réponse. En fait, je n'avais aucune idée de comment aller chercher ses réponses de façon adéquate. Avec Stella.. Se fut.. Facile ? Se fut direct.. Je veux dire.. Après ce que nous avions vécus avec Skaan.. Lorsque j'entendis sa voix sereine et son petit rire, je me concentra à nouveau sur elle, pour laisser mon passer où il était.

« Peut-être que se sera le cas pour moi éventuellement ! Je veux dire.. Sico.. est tout nouvellement dans ma famille.. Alors, ça m'étonnerais même pas que les animaux deviennent.. »

Mélancolie à la porte. Je fis un petit sourire en coin.. Encore ce passé, encore cette foutu pensée à elle.. Qui essai de me retenir de tout son long. Qui essai de me garder dans une mélancolie justifié et pour toujours, mais je suis prête.. Je suis prête à enfin découvrir le monde comme la nouvelle Laura. Je suis enfin prête à vivre les histoires, les aventures que je souhaites et à ma manière. Alors, pourquoi ? Pourquoi suis-je si difficile avec moi-même. Pourquoi je ne me laisse pas aller.. C'est peut-être même pour cette raison, que drôlement, mes yeux bifurquèrent vers la poitrine de Mélodie. Sans réellement m'en rendre compte. Était-ce vraiment sans m'en rendre compte ? Je ne sais pas.. Peut-être.. Non.. C'était très délibérée. Avec sa proximité, la chaleur, les laisses.. Mon dieu... Le rouge me monta aux joues, la chaleur monta en moi.. Non, non...

Je leva mon regard vers elle et mes sourcils se levèrent de surprise. Était-elle en train de flirter ? Était-elle en train d'ouvrir la porte que j'attendais depuis le début ? J'en savais tout simplement rien. La seule chose que je fus capable de faire était de devenir rouge comme une tomate et mon regard se dirigea vers ses lèvres. Merde... Qu'est-ce que je fais..

« Je.. Effectivement.. Je dirais que c'est même les tropic en ce moment. »

Oh.. mon dieu.. Qu'est-ce que c'était que ça.. « C'est même les tropics ? » Sérieusement, je n'ai pas plus trouver mieux que ça ? Vraiment ? Je ferme les yeux de découragement. Moi et le flirte.. Ça va pas bien du tout. Je n'avais clairement pas la flamme pour ça. J'étais plus.. Je présume.. que je suis plus contact physique ? Oh, lalala.. Je sais vraiment pas comment je vais m'en sortir. En fait.. J'en avais presque oubliée les laisses jusqu'à ce que je me dise que je devais trouver mon ciseau. Le fameux ciseau qui allait nous libérer..

C'est à ce moment que je réussis enfin à attraper la denrée rare qu'était ce petit objet. J'étais à l'attaque, un sourire victorieux sur mes lèvres. Je lève mon regard vers Mélodie ! Wow ! Quel beaux yeux.. Poitrine.. Lèvres.. Non.. Couper les laisses. J'essai tant bien que mal de me rendre à celles-ci.. Mais c'était.. Mon dieu, j'ai touché sa poitrine.. Caresser.. toucher ? Troublée.. oui.. Troublée. J'essai de continuer comme si de rien n'était. Je devais vraiment réussir à nous séparer. En fait, pour mon plus grand bien intérieur. Je ne voulais pas, mon corps de voulait pas... mais.. Je n'allais pas rester sereine tant que j'avais cette proximité avec elle. Mélodie.. me mettait sans dessus dessous.

Lorsque mes mains caressaient plutôt touchaient à plusieurs reprises sa poitrine. Je m'excusait fermement.. Plusieurs fois.. Je veux dire.. Ce n'était pas mon intention initiale de toucher, je voulais me débarrasser.. Je voulais.. oui.. Je voulais couper les foutues laisses... mais encore.. Mélodie semblait me troublée encore une fois. Lorsque je l'entendis répondre à mes excuses, je stoppais nette mes efforts et je levais la tête.

« Je.. Mélodie.. Tu me trouble positivement.. C'est incroyable.. »

Qu'est-ce que ça voulait vraiment dire cette phrase ? Aucune idée. Bourgogne, sur le point de mourir d'asphyxie, j'essayais de me concentrer du mieux que je pouvais sur les laisses.. Qui clairement ne voulait en aucun cas coopérer. J'étais au bout du rouleau et je n'avais plus de solution. J'haussais les épaules par la défaite que je vivais et j'entendis une nouvelle voix proche de nous.

« Je ne dirai pas non.. » dis-je avec un petit sourire en coin.

Ces mains expertes enleva rapidement les laisses et je pris un léger recul. Non pas par peur ou dégoût, mais plutôt.. De reprendre mes esprits. Je devais vraiment les reprendre. Je pris une longue respiration, Sico vint rapidement me voir et je passais une main dans son poil. Je levais mon regard vers la femme.

« Merci beaucoup ! »

Sa prochaine phrase me troubla encore.. mais merde.. Qu'est-ce qu'elles avaient à me troubler ainsi. Fiancée ? Elle + Elle ? Elle vient d'insinuée que nous ? Je regarde rapidement Mélodie et je l'observe de côté. Ces cheveux blonds en cascade.. Ces lèvres pulpeuses, sa poitrine.. J'approche rapidement de Sico et je colle mon visage dans son cou.. Oh, lalala.. Qu'est-ce qui venait de se passer.. Toujours dans le poil de Sico, j'entendis le mot Milkshake. Je le vais la tête et sourit.

« Ça serait avec plaisir ! »

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